Dans la peau d’un Splunker : Thomas Elliot-Tollardo

L’esprit de compétition chevillé au corps, ce fan absolu de sport n’a qu’un objectif : progresser ! Que ce soit dans sa carrière, lui qui a rejoint Splunk en novembre 2021 en tant qu’Ingénieur avant-vente généraliste, ou au sein de son association, où il se dévoue à sa grande passion : le poker. Le sport, c’est aussi l’esprit d’équipe, et ce n’est pas les Splunkers qui le contrediront. En 3 ans, Thomas est devenu un pilier de notre équipe France, je vous invite à découvrir pourquoi.

Thomas, comment t’es-tu retrouvé dans l’IT ?

J’ai en fait toujours rêvé d’être commentateur sportif ! 

Mais j’avais des facilités dans les matières scientifiques, ce qui m’a naturellement dirigé vers un cycle ingénieur dans une école à Grenoble (car je suis originaire de Haute-Savoie). J’ai ensuite obtenu un stage chez IBM, et c’est comme ça que je suis rentré dans le petit monde de l’IT en France. En revanche, je suis convaincu qu’il existe de nombreux parallèles et rapprochements entre le monde du sport et celui de l’IT. Que ce soit au niveau du travail d’équipe ou de la recherche de la performance par exemple. 

Et comment es-tu arrivé chez Splunk ?

Splunk s’est naturellement imposé à moi après mon expérience chez Nutanix. D’une part, parce que j'étais convaincu par la solution, notamment par l’aspect plateforme. Mais aussi parce que j’avais noué des relations professionnelles avec des collègues qui avaient rejoint Splunk. J’avais déjà pu me spécialiser dans des produits autour de la supervision (chez Centreon) et dans la partie analytics et machine learning chez Nutanix. Il me restait cependant à progresser sur la partie sécurité, un gros pilier chez Splunk, évidemment.

Ça ressemble à quoi une journée dans tes baskets ?

Les journées sont variées au rythme de rendez-vous clients avec mes deux collègues commerciales, d’ateliers techniques et de réunions internes également. Dans le futur, cela va encore se diversifier avec une partie de mon temps dédiée au développement technique de notre réseau de partenaires en France.

Évidemment, il y a aussi de la formation continue : nos technologies et le marché évoluent sans cesse et il est important de rester à jour. D’autant plus qu’une partie de mon travail consiste à informer nos clients des nouveautés de nos produits et donc des nouveaux cas d’usage qu’ils pourraient mettre en place.

Quel est ton meilleur souvenir chez Splunk ?

Lorsque mon manager de l’époque m’a présenté à Aurélie (Gibier Bouvet, ndlr) qui allait devenir mon premier binôme chez Splunk. Je sortais de la période d’onboarding après avoir validé un ensemble de certifications techniques et j’allais remplacer un autre collègue avant-vente qui travaillait alors avec elle. Elle m’a tout de suite fait confiance sur la partie technique des rendez-vous clients, ce qui nous a rapidement permis de travailler sur de beaux projets et de mettre en place une relation de confiance auprès de nos clients.

Quels projets te tiennent à cœur en dehors de Splunk ?

Je m’investis toujours dans les clubs et associations dans lesquels je m’inscris. Je donnais des cours d’initiation au tennis dans mon club en Haute-Savoie. J’étais arbitre pour mon club de handball et je suis aujourd’hui membre du bureau du Juvisy Poker Club, deux fois champion de France sur ces trois dernières années. Pour ce dernier, je leur fais profiter de mes connaissances en informatique notamment pour simplifier les communications, la « paperasse » ou encore la mise en place de streams interactifs ! (Exemple de la finale d’une compétition online interne au club) : JPC Compétition Interne - Table finale

Je donne également des cours de poker dans le club pour essayer de faire progresser les adhérents et le club en général.
Avec la période des Jeux Olympiques qui a brassé beaucoup de monde et donc augmenté les affluences dans les hôpitaux, de nombreuses campagnes de don du sang ont été mises en place. Je fais au mieux pour me rendre disponible lorsque cela passe à Juvisy, où j’habite. C’est un petit geste à mon échelle mais si chacun contribue un peu, cela change vraiment la donne.

Une phrase qui te représente ?

J’aime beaucoup la phrase de Léonard de Vinci : « La simplicité est la sophistication suprême. »

En informatique notamment, on permet de faire des choses extrêmement complexes de manière très simple. En appuyant sur un seul bouton, on déclenche tout un processus pour réaliser différentes actions dans un but précis. Parfois, quand on regarde « sous le capot », on découvre un environnement extrêmement compliqué mais qui est présenté de manière très simple à l’utilisateur. Derrière un simple bouton peut se cacher un algorithme de plusieurs milliers de lignes de code ! 

Et une œuvre à conseiller ?

The Phoenix Project, c’est un documentaire romancé sur la vie au jour le jour de Bill, IT Manager chez Parts Unlimited, qui doit prendre en main un projet extrêmement ambitieux et critique pour le futur de l’entreprise. Ce livre explique de manière simplifiée les principaux concepts autour de l’IT en général et du DevOps en particulier. La suite, nommée The Unicorn Project, est également de très bonne facture. J’avais trouvé que ce livre était vraiment simple à lire et à comprendre même sans être forcément dans le milieu de l’informatique. Et surtout qu’il permettait de vraiment se mettre à la place de nos clients en comprenant certaines difficultés qu’ils rencontrent tous.
Sinon, dans un tout autre contexte (mais aussi parce que mon métier me permet parfois de voyager), j’étais à Stockholm récemment pour une semaine de conférences entre populations techniques. Dans l’avion du retour, j’ai sympathisé avec mon voisin qui venait en France dans le cadre d’un festival pour lequel il allait mixer. Je lui avais promis d’écouter un de ses mix et, bien que je ne sois pas forcément amateur de musique électronique, celui-ci s’écoute très facilement et le nom (From Nature to Technology) résonne particulièrement bien avec des problématiques actuelles. ¡Gracias Martin!

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