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Published Date: September 12, 2022
L’Internet des objets médicaux (IoMT), qui fait partie des technologies de l’Internet des objets (IoT), englobe les appareils et les applications interconnectés utilisés dans l’informatique médicale et de santé. Les appareils IoMT connectent les patients, les médecins et les appareils médicaux (équipements hospitaliers, équipements de diagnostic et technologie portable) en transmettant des informations sur un réseau sécurisé.
Tout comme les appareils IoT généraux, l’IoMT, également connu sous le nom d’IoT de la santé, utilise l’automatisation, des capteurs et une intelligence machine pour réduire le recours à l’intervention humaine lors des procédures de soins et des opérations de supervision de routine. En offrant aux patients et aux professionnels de santé un meilleur accès aux informations de santé, l’IoMT réduit le besoin de visites inutiles au cabinet du médecin et à l’hôpital. L’IoMT réduit également les coûts pour les patients et les professionnels de santé.
En 2017, le cabinet Frost & Sullivan a prévu que le marché de l’Internet des objets médicaux (IoMT) augmenterait à un taux annuel composé de 26,2 %, atteignant 72 milliards de dollars d’ici 2021. Cette estimation semble assez faible aujourd’hui. La pandémie de COVID-19 a entraîné une augmentation exponentielle de l’IoMT, les ordres de quarantaine et de confinement accélérant considérablement les tendances de la télémédecine et de la télésanté. Au fil de la consolidation du marché de l’IoMT, la télésanté et la télémédecine vont poursuivre la transformation des soins de santé tels que nous les connaissons, permettant des diagnostics plus approfondis et précis, des soins plus rapides et des économies de coûts pour les consommateurs comme les professionnels de santé.
Que sont la télésanté et la télémédecine ? Quelle est la différence entre la télésanté et la télémédecine ?
La télésanté désigne « l’utilisation des technologies de l’information et de la communication numériques, telles que les ordinateurs et les appareils mobiles, pour l’accès aux services de santé à distance et la gestion des soins de santé ». Comme le terme « soins de santé », la télésanté comprend un large éventail d’activités : communications patient-médecin, diagnostics, supervision continue, éducation et conseil.
Le terme télémédecine, d’autre part, a généralement été utilisé pour définir un spectre plus limité d’outils technologiques de soins fournissant des services cliniques, à savoir le diagnostic à distance et le suivi des patients.
Lorsque la télémédecine est apparue dans les années 2000, le champ de cette technologie était limité. Les premières applications de télémédecine étaient de nature strictement clinique et se limitaient à des services tels que le dépistage d’un patient potentiel par vidéo ou la supervision à distance des signes vitaux d’un patient en soins intensifs. Avec l’évolution de la télémédecine, ses capacités ont rapidement dépassé les limites strictes de la médecine clinique, donnant naissance au terme plus large de télésanté. Aujourd’hui, la télésanté est suffisamment vaste pour inclure la formation des médecins et les réunions administratives tenues dans une salle de visioconférence, en plus des services cliniques.
Autrefois distincts, les deux termes sont désormais utilisés de manière plus souple, voire interchangeable dans de nombreuses sources.
Quel est le lien entre l’Internet des objets médicaux (IoMT) et la télésanté et la télémédecine ?
Si télésanté et télémédecine font toutes deux référence à un large ensemble de technologies, de services et de stratégies, l’IoMT fait spécifiquement référence aux appareils qui leur permettent de fonctionner. Sans connectivité IoMT, la télésanté serait quasiment impossible ; de même, un appareil IoMT est assez inutile en soi. Par exemple, un appareil qui enregistre la tension artérielle d’un patient chaque jour et envoie ses relevés vers le cloud ne fait rien à lui seul pour améliorer la santé de ce patient. Il faut une solution de télésanté plus large pour interpréter ces lectures, diagnostiquer une maladie, concevoir un plan de traitement, fournir des thérapies et suivre le patient au fil du temps. Bien que certains de ces efforts puissent être accomplis par l’intelligence artificielle (IA)/machine learning et d’autres technologies informatiques, au bout d’un moment, un véritable médecin humain devra s’impliquer.
Avec les progrès des capacités des appareils IoMT (et la situation internationale imposant à un nombre croissant de personnes de rester chez elles), ces technologies vont gagner en importance dans la communauté médicale et la population en général.
Quels sont les avantages de l’IoMT ?
L’IoMT présente de nombreux avantages pour les patients et les professionnels de santé.
- Diagnostics et soins thérapeutiques personnalisés de précision : de nombreux appareils IoMT sont conçus pour suivre les signes vitaux d’un patient en détail et en profondeur, à un degré qui ne serait pas possible lors d’une brève visite au cabinet. Par exemple, avec un mois de mesures de la pression artérielle ou de la fréquence cardiaque, un médecin peut diagnostiquer plus précisément une maladie et créer un plan de traitement plus personnalisé et plus efficace.
- Soins et conseils médicaux à distance : la nature-même des dispositifs IoMT leur permet de capturer des données de n’importe où, y compris au domicile d’un patient, puis de transmettre ces informations en toute sécurité au médecin, le tout sans consultation au cabinet.
- Autonomisation des patients : les appareils IoMT tels que les appareils portables et les balances connectées permettent aux patients de prendre le contrôle de leurs signes vitaux, en leur donnant des informations qu’ils ne pourraient obtenir qu’en consultant leur médecin. Plutôt que d’attendre leur bilan de santé annuel, les patients peuvent désormais suivre leur santé en temps réel
Les avantages de l’IoMT pour les professionnels de santé
- Contrôle des coûts : avec l’augmentation rapide du coût des soins médicaux ces dernières années, les prestataires cherchent à adopter des technologies de santé rentables. En 2015, Goldman Sachs a prédit que les économies réalisées grâce aux technologies IoMT, à savoir la supervision des patients à distance, totaliseraient environ 305 milliards de dollars.
- Supervision améliorée des patients : les patients atteints d’une maladie chronique ou grave ont besoin d’une supervision plus intensive, nécessitant parfois des soins 24 heures sur 24. Les dispositifs IoMT permettent aux médecins de suivre les patients à distance sans avoir à faire appel à des soignants humains et d’être instantanément avertis en cas de problème.
- Amélioration des opérations : l’IoMT optimise les opérations des hôpitaux en donnant aux professionnels de santé et aux administrateurs un contrôle plus facile et centralisé de leurs installations. Les dispositifs IoMT peuvent leur donner davantage de visibilité sur leur environnement et mettre à la disposition des médecins des nouvelles technologies telles que les aides chirurgicales robotiques et les systèmes d’imagerie numérique haute résolution.
Quels sont les défis de l’implémentation de l’IoMT ?
La mise en œuvre de l’IoMT s’accompagne de son lot de défis, les plus importants étant la sécurité et la confidentialité. Les données médicales sont très réglementées, notamment par la loi HIPAA (Health Insurance Portability and Accountability Act), et les prestataires de soins portent la lourde responsabilité d’empêcher leur compromission. L’introduction d’appareils IoMT dans l’environnement présente un certain niveau de risque, en grande partie à cause de la quantité considérable de données supplémentaires qui circulent entre les patients et les professionnels de santé.
Les fournisseurs d’IoMT sont également confrontés à des problèmes d’interopérabilité et de normes. Dans un monde idéal, les équipements IoT de soins de santé d’un fournisseur fonctionneraient de manière transparente avec l’infrastructure d’un autre, mais c’est loin d’être le cas et aucune norme uniforme n’a encore émergé. Si certains processus de certification ont vu le jour, l’industrie est encore loin de l’interopérabilité universelle.
Un autre problème persistant, et peut-être le plus difficile à résoudre, est l’impossibilité de mettre à jour les appareils IoMT. Bien que les appareils IoMT soient à la pointe de la technologie lors de leur mise sur le marché, une fois qu’ils sont sur le terrain, il peut être difficile de les mettre à niveau ou de leur apporter de nouvelles fonctionnalités. Il est peu probable que les consommateurs changent d’appareils portables ou d’appareils connectés chaque année, et les hôpitaux mettent généralement un certain temps à déployer de nouveaux équipements coûteux, ce qui crée une mosaïque de produits aux capacités variables. Les mises à niveau deviennent plus difficiles encore avec les dispositifs implantables tels que les stimulateurs cardiaques, qui sont intégrés chirurgicalement.
Quels sont les grands types d’appareils IoMT ?
On recense de nombreuses catégories d’appareils IoMT, notamment :
- les appareils portables grand public tels que les appareils connectés comme la montre Fitbit et autres moniteurs de fitness, moniteurs d’activité et Apple Watch, entre autres ;
- les appareils portables de qualité médicale tels que les produits réglementés de niveau clinique utilisés sous la direction d’un médecin, et notamment conçus pour gérer la douleur, améliorer les performances physiques et résoudre d’autres problèmes de santé ;
- les dispositifs de suivi à distance des patients (RPM) tels que les systèmes d’aide à la gestion des maladies chroniques, généralement placés au domicile des patients en soins de longue durée ;
- les systèmes personnels d’intervention d’urgence (PERS) tels que les appareils portables qui permettent à un patient, souvent une personne âgée, d’appeler rapidement un professionnel de santé à l’aide en cas d’urgence ;
- les pilules intelligentes, qui sont une catégorie émergente d’appareils. Elles peuvent être avalées par un patient puis transmettre sans fil des données sur les composants internes d’un patient à des professionnels de santé ;
- les appareils et kiosques au point de service, qui sont des appareils mobiles, allant des appareils à ultrasons aux lecteurs de glycémie, capables d’obtenir des informations de diagnostic et d’autres données de santé (dans un cabinet médical ou sur le terrain) sans qu’il faille un laboratoire complet ;
- les moniteurs en clinique, similaires aux dispositifs de point de service, qui se distinguent en ce qu’ils peuvent être gérés à distance, sans la présence d’un expert de la santé ;
- les dispositifs hospitaliers, qui regroupent les machines d’IRM, sont utilisés pour suivre les actifs de l’hôpital, superviser le flux des patients, suivre les stocks (des produits pharmaceutiques en particulier) et gérer d’autres ressources hospitalières.
Quelle est l’importance de la sécurité pour l’IoMT ?
Les appareils IoMT offrent de nombreux avantages, notamment sur le plan pratique, ainsi que pour l’amélioration de la qualité des soins et la réduction des coûts, mais tous comportent un certain niveau de risque. La sécurité est donc d’une importance primordiale pour les appareils IoMT. Le marché de la sécurité des soins de santé à lui seul devrait atteindre 8,7 milliards de dollars d’ici 2023, selon Frost & Sullivan.
Le risque le plus important auquel les patients sont confrontés est la perte de données médicales confidentielles, dont l’exposition pourrait être gênante ou dommageable. Ce risque pèse également lourdement sur les prestataires de santé, car ils peuvent être tenus responsables financièrement (et même pénalement) en cas de violation des données de leurs clients. Au plus haut niveau, la loi HIPAA prévoit une pénalité maximale de 1,5 million de dollars pour chaque année d’infraction d’un prestataire ainsi qu’une peine de prison. Pour cette raison, il est essentiel que les données des patients soient protégées par les protocoles de sécurité les plus stricts.
Les données sur la santé des consommateurs ne sont pas la seule cible des pirates. Les prestataires et les organismes de santé sont confrontés à bien d’autres types d’attaques. La fraude médicale, qui consiste, pour un pirate, à utiliser les identifiants d’une autre personne pour obtenir des médicaments ou des services médicaux, est une source d’inquiétude courante. Et de la même manière que d’autres types d’entreprises sont attaqués via leurs réseaux informatiques, les cybercriminels peuvent cibler des dispositifs médicaux spécifiques (stimulateur cardiaque intelligent, glucomètre ou pompe à insuline, par exemple) pour obtenir des informations médicales et les désactiver en ligne en échange d’une rançon, mettant potentiellement les patients en danger. Les appareils IoMT peuvent être des points d’entrée potentiels (ou des cibles directes) pour tous ces types d’attaques.
Quelles sont les similitudes et les différences entre l’IoMT et l’IoT ? Quelles sont les spécificités de l’IoMT ?
L’Internet des objets (IoT) est aujourd’hui une catégorie tentaculaire qui comprend (au dernier décompte) plus de 7 milliards d’appareils allant des réfrigérateurs et thermostats connectés aux équipements d’usine robotisés et aux véhicules intelligents. L’IoMT étant un sous-ensemble de l’IoT, les deux catégories ont naturellement beaucoup en commun.
Bien que de nombreux appareils IoT de santé (IoMT) soient de nature purement médicale, comme les assistants chirurgicaux robotisés, on peut considérer que de nombreux appareils IoMT relève plus généralement de la catégorie IoT. Par exemple, une montre connectée qui mesure la fréquence cardiaque et l’oxygène dans le sang (clairement des fonctions IoMT) est aussi un appareil grand public utilisé pour recevoir des messages texte, des instructions de navigation, etc.
Avec le temps, les frontières séparant l’IoT, l’IoMT et d’autres sous-ensembles de l’IoT sont destinées à s’estomper.
Quel est le marché de l’IoMT ?
Le marché de l’IoMT est divisé en deux grands groupes : les consommateurs et les prestataires de soins de santé. Les prestataires peuvent être subdivisés en divers sous-groupes, dont les médecins, les laboratoires, les cliniciens et la direction de l’hôpital. Les sociétés pharmaceutiques, et à un autre niveau les détaillants comme les pharmacies, peuvent aussi être considérés comme des membres secondaires du marché de l’IoMT.
Deloitte a récemment estimé que le marché mondial de l’IoMT atteindrait 158 milliards de dollars en 2022, équitablement répartis entre l’Amérique du Nord, l’Europe et la région Asie-Pacifique. L’Amérique du Sud et le Moyen-Orient/Afrique contribueront également, dans une moindre mesure, à ce marché.
Comment les prestataires de soins de santé tirent-ils parti de l’IoMT ?
Les appareils IoMT transforment la santé et les soins aux patients, et cette tendance ne montre aucun signe de ralentissement. Selon Deloitte, plus d’un demi-million de types d’appareils IoMT différents sont déjà sur le marché. Ces nouvelles technologies ne rapprochent pas seulement les patients et les professionnels de santé, elles rendent possibles de nouveaux types de traitements et améliorent la qualité de vie des consommateurs.
Les appareils IoMT et l’IoT pour la santé permettent aux professionnels de santé de poser des diagnostics plus précis plus rapidement, tout en étant mieux armés pour superviser les patients à risque. En outre, l’IoMT et l’IoT pour la santé réduisent les coûts globaux des services tout en élargissant la capacité des soignants à atteindre des patients autrement difficiles d’accès. Enfin, les hôpitaux et les cliniques utilisent l’IoMT pour exploiter les systèmes IT de santé de manière plus efficace et rentable.
Quel est l’état actuel de la télésanté et de la télémédecine ?
La télésanté et la télémédecine connaissent actuellement un grand essor, en partie parce que la pandémie de COVID-19 a accéléré les tendances qui poussaient déjà l’industrie dans cette direction. Un récent rapport de McKinsey & Co. estime que les médecins voient jusqu’à 175 fois plus de patients par le biais de systèmes de télésanté qu’avant la pandémie de COVID-19 : en une seule année, l’utilisation de la télémédecine par les consommateurs est passée de 11 % en 2019 à 76 % en 2020. Avant le COVID-19, le marché de l’industrie de la télésanté était estimé à 3 milliards de dollars. À l’avenir, ce marché pourrait bientôt consommer 250 milliards de dollars de dépenses de santé.
Parallèlement à cela, les organismes de réglementation et les assureurs acceptent de plus en plus les services de télésanté. Medicare rembourse désormais aux mêmes taux les visites en télémédecine que les visites en personne, et les médecins et autres professionnels de la santé peuvent même traiter les patients d’autres états que le leur.
Pour le moment au moins, la télémédecine est en train de transformer considérablement les soins médicaux tels que nous les connaissons.
Quel est l’avenir de l’IoMT ?
L’IoMT est une catégorie en pleine évolution, et les appareils IoMT sont sur le point de modifier considérablement le paysage des soins de santé. Imaginez un avenir où les consommateurs pourraient choisir d’utiliser des appareils portables qui suivent leurs signes vitaux 24h/24 et 7j/7, alertant les professionnels de santé en cas de problème. Mieux encore, ces appareils peuvent évoluer pour acquérir des fonctions prédictives, en utilisant l’IA et le machine learning pour identifier les variations mineures dans les signaux biologiques qui indiquent potentiellement un problème futur. Au fil du temps et de la sophistication croissante des technologies IoMT, les médecins vont pouvoir passer progressivement de la prescription à la prévention, et ainsi potentiellement permettre à leurs patients de vivre plus longtemps et en meilleure santé. Les assureurs pourraient même baisser les primes des consommateurs optant pour une supervision en temps réel (qui leur éviterait de fréquenter les cabinets et les hôpitaux).
Dans les milieux cliniques et hospitaliers, les capacités de dispositifs IoMT tels que les systèmes de diagnostic avancés et les assistants chirurgicaux robotisés, vont elles aussi s’accroître : les patients qui ont besoin de soins médicaux en personne bénéficieront ainsi de meilleurs diagnostics, d’un rétablissement plus rapide et de taux de survie supérieurs.
Ces avantages ne se manifesteront pas de manière organique : pour mener pleinement ce marché vers l’avenir, des progrès en matière de puissance de calcul, de communications sans fil et de miniaturisation des composants seront indispensables.
Quel est l’avenir de la télésanté et de la télémédecine ?
Si le COVID-19 a poussé les consommateurs et les professionnels de santé vers les technologies de télésanté, McKinsey souligne que ce changement n’est pas nécessairement permanent. Pour que la télésanté s’ancre durablement dans un monde post-pandémique, les fournisseurs devront apporter des changements importants. Bien que des améliorations de la technologie et de l’interopérabilité des données soient nécessaires pour que la télésanté « s’installe », il faut aussi que les professionnels de santé adoptent largement cette nouvelle façon de travailler.
Mais jusqu’à présent, les consommateurs semblent convaincus par la télésanté et la télémédecine et, maintenant que tout le monde a accès par visioconférence à ses professionnels de santé, il est peu probable qu’ils aient hâte de retrouver la salle d’attente de leur médecin.
L’IoMT n’est pas une catégorie floue et hypothétique à l’avenir incertain. Les technologies IoMT sont déjà là, et elles changent la vie de millions de personnes en leur donnant un meilleur contrôle sur leur santé et en améliorant les communications avec les professionnels de santé. Parallèlement à cela, l’IoMT devient aussi une technologie clé pour les médecins et autres professionnels de santé, qui peuvent ainsi poser de meilleurs diagnostics dans des délais plus courts, et souvent sans avoir à voir les patients en personne. Les avantages financiers de l’IoMT sont également considérables et pourraient permettre de réaliser des centaines de milliards de dollars d’économies dans les années à venir.
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